vendredi 30 mai 2008

les 7 merveilles du monde...



Il fut demandé à un groupe d'élèves une liste de ce qu'ils croient être les 7 merveilles du monde...

Malgré un léger désaccord, ce qui suit eu le plus de votes :

1. Les Pyramides d'Égypte
2. le Taj Mahal
3. le Grand Canyon
4. le Canal de Panama
5. l' Empire State Building
6. la Basilique de St Pierre
7. le Mur de Chine

Lorsque les votes furent ramassés, le professeur remarqua une élève qui n'avait rien remis. Elle demande à la petite fille si elle avait besoin d'aide avec sa liste.

La petite fille répliqua :

Oui, un peu, il y en a tellement que je ne sais lesquels choisir.

Le professeur dit : "Bien, dit nous ce que tu as et peut-être que nous pourrons t'aider..."

La petite hésita, puis elle lut :

Je crois que les 7 merveilles du monde sont :

1. Toucher
2. Goûter
3. Voir
4. Entendre

Elle hésita un peu, puis ajouta,

5. Sentir
6. Rire
7. Aimer

Il y avait tellement de silence dans la pièce, qu'ont aurait pu entendre une épingle tomber par terre.

Les choses qu'on ne remarque pas toujours, qui sont aussi simples et ordinaires que ceci, sont définitivement merveilleuses.

Ceci est un simple rappel, que rien n'est plus précieux que ce qui ne peut être acheté et donné avec la gratuité du coeur.

Bonne journée!


RECETTE POUR TOUT LE MONDE......BONNE APPETIT




Ingrédients :


Une bonne mesure de bonté


Une portion de
douceur


Un grand trait de
patience


Beaucoup de
jovialité


Une pincée
d'indulgence


Une bonne once de
compassion


Une goutte
d'ouverture


Beaucoup de
compréhension


Une pointe
d'humour


Un peu de
paix


Quelques traits de
générosité


Beaucoup de
sagesse


Méthode :


Choisissez un moule en cœur et garnissez-le délicatement de
joie de vivre et d'optimisme.


Réchauffez votre foyer et votre environnement pour les rendre accueillants.

Mesurez la bonté et la compassion, sans les tamiser; ajoutez-leur de la douceur et de la patience et mélangez le tout dans la joie.



Défaites vos erreurs en crème et incorporez-leur un peu
d'indulgence et d'ouverture, en mélangeant délicatement de façon à ne rien brusquer et en utilisant avec sagesse les vertus de l'intelligence.



Ajoutez de la
paix, par petites quantités, et battez avec générosité.



Mélangez bien ensemble ces différentes préparations.

Auteur anonyme

mercredi 28 mai 2008

Le bonheur



Le bonheur




On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant et ensuite, après en avoir eu un autre.



Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.


On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape. On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.


La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux, que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ?


La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.


" Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer.
La vraie vie !

Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer, etc.


Et alors, là, la vie allait commencer ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie. "


Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.


Le bonheur est le chemin. Ainsi, passe chaque moment que nous avons et, plus encore, quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps, et que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.


Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux !


LE BONHEUR N'EST PAS UNE DESTINATION, IL EST UNE TRAJECTOIRE !


Il n'en faut que si peu pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie :


* Tomber amoureux

* Rire jusqu'à en avoir mal au ventre, ou des crampes aux mâchoires

* Trouver un email d'un ami apprécie

* Conduire vers des paysages magnifiques en terre inconnue

* Se coucher dans son lit en écoutant la pluie tomber dehors

* Sortir de la douche et s'essuyer avec une serviette toute chaude

* Réussir son but souhaité

* Avoir une conversation intéressante

* Retrouver de l'argent dans un pantalon que l'on n'a pas porté depuis des lustres

* Rire de soi-même

* Rire sans raison particulière

* Entendre accidentellement quelqu'un dire quelque chose de bien sur soi

* Se réveiller en pleine nuit en se rendant compte que l'on peut encore dormir quelques heures

* Ecouter une chanson qui nous donne chair de poule

* Se faire de nouveaux amis

* Voir contents les gens que l'on aime

* Faire plaisir aux autres sans qu'ils sachent que c'était toi !!!

* Rendre visite à un vieil ami et se rendre compte que les choses n'ont pas changé entre vous

* Admirer un coucher de soleil - ou bien l'éveil du soleil

* Contempler la lune et le ciel des étoiles, et voir glisser un vaisseau

* Te faire tranquillement masser le dos et t'endormir paisiblement

* Sentir un vent doux nous caresser les cheveux et la joue

* Entendre dire que l'on nous aime et vivre paisiblement tous les petits moments qui nous réchauffent le cœur et l'âme

* Donner sans attendre quelque chose au retour - donner du fond de cœur avec amour inconditionnel

* Se donner soi même

* Les yeux brillants de quelqu'un d'autre qui est heureux de joie à grâce à toi, etc. (ton cadeau, ton aide, ton astuce, etc.…)

* Rêver ardemment - les yeux ouverts - songer à c'est qu'on désire
* Silence, paix, et harmonie

* Sentir l'énergie divine en soi même et dans tous les êtres vivants, dans toutes les choses…



Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle, et dans les mauvais moments ils viennent d'eux-mêmes.

Le temps n'attend personne.

Réjouis chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage-les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux.


Le bonheur est un " enfant " de l'amour et seulement les véritables valeurs nous accompagnent dans l'éternité…

Source inconnue

J'ai appris à dormir quand le vent souffle la nuit



Un fermier, très mécontent du travail effectué par l'un de ses serviteurs s'en fut à la foire chercher un remplaçant.
Il y rencontra un jeune homme, un peu gauche à l'air simple.
- Alors jeune homme, lui dit le fermier, quel est votre nom ?
- Jean, Monsieur.
- Et que faites-vous dans la vie ?
- Je travaille comme valet de ferme.
- Quelles sont vos aptitudes ?
- Avec tout le respect que je vous dois, Monsieur, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
- Pardon ?
- Oui, je sais dormir quand le vent souffle la nuit.
- Ma foi jeune homme, répondit le fermier, cela n'est guère une réponse. La plupart de mes gens font cela très bien.
Le fermier continua donc ses recherches, mais ne trouva personne.

Plusieurs fois, il revit Jean et chaque fois celui-ci lui donnait la même réponse étrange : «Je sais dormir quand le vent souffle la nuit».

Tard dans l'après-midi, le fermier prit sa décision.
Trouvant que les yeux de Jean reflétaient l'honnêteté, il lui dit ceci : «Vous êtes certainement un drôle de numéro comme valet de ferme, mais je vous embauche. Nous verrons de quoi vous êtes capable.»

Jean travailla plusieurs semaines sans que l'on remarqua son travail. Ce qui n'est pas étonnant en soi car le travail bien fait passe souvent inaperçu.
C'est seulement quand quelque chose ne tourne pas rond que l'on y prête attention.

Puis une nuit, le vent commença à chasser devant lui d'énormes nuages. Il prit sa force dans les collines, traversa la forêt avec beaucoup de fracas, martela les bâtiments et donna contre les meules de foin, hurlant dans les cheminées.
Lorsque le fermier entendit le vent, il se dressa sur son lit ; il connaissait bien ce vent là.
Déjà plusieurs fois, celui-ci lui avait arraché les portes des étables, dispersé son foin et renversé ses poulaillers.
Il appela Jean qui dormait au grenier.
Il hurla plus fort que le vent, mais personne ne lui répondit.
Enfin, à grandes enjambées il monta le secouer. «Jean ! Jean ! Lève-toi.
La tempête va tout emporter.» Rien à faire, Jean dormait profondément.

Il sortit seul dans la tourmente s'attendant déjà au pire.

Et bien non, au contraire ;
il vit les portes de l'étable solidement barricadées, les chevaux liés, en sûreté, les fenêtres bloquées et le bétail sagement couché dans la crèche.
Il trouva également les meules de foin bien arrimées par des bâches attachées par des grosses cordes fixées sur des pieux enfoncés profondément en terre. La porcherie était intacte et les poulaillers en place malgré la tempête qui sévissait avec rage.

Alors il éclata de rire.
Il venait enfin de comprendre les paroles de Jean.
Le Maître nous a donné suffisamment de conseils nous permettant d'entrer dans son repos. Donc, heureux l'homme qui peut dire :
"J'ai appris à dormir quand le vent souffle la nuit."

Auteur anonyme


lundi 26 mai 2008

أمي....كل سنة و انت طيبة



ترمقني أمي بعينها الحانية كل حين...و كم تسعدني تلك النظرات ...فأعيش بنورها...و أنعم بدفئها...فهي نوري في دروبي...و وقودي في حياتي ...ودليلي في طرقاتي...... يزداد عمري يوماً بعد يوم...و أصغر أمام عطف أمي كل يوم...فأنا أحس بين يديها كأني ولدت من جديد..إنني طفلاً يحتاج لعطفها.....أكبر و أكبر و يزداد تعلقي بها و الحاجة لنظراتها
..

امي.. ماذا عساي ان اقول.. فالكتابة عنك امر بالغ الصعوبة لانه تعبير عن الحب والامتنان والعرفان والمكوث تحت قدميك )عتبة الجنة(.. فحبي لك يا امي ليس شعوراً عقلانياً ولا هو عاطفة مستقلة انه ارتباط ابدي وهنا يكمن سره وسحره ومعجزته. امي يا كل الحب والحنان.. اعرفك لا تنتظرين رداً للجميل لانك قمة العطاء وان زالت هذه الصفات من العالم بأسره فستبقى محفورة في قلبك لانها مأخوذة عنك


أماه بأي لسان نشكركِ وبأي كلماتٍ نوفيكِ حقكِ ، جزاك الله عنا خير الجزاء أمّاه ،وملأ دربكِ زهورا ورياحينا
..

samedi 24 mai 2008

ابني العزيز.....اجمل رسالة قرأتها




إبنــى العزيــز


عندما يحل اليوم الذى سترانى فيه عجوزاً ................ أرجو أن تتحلى بالصبر وتحاول فهمى

إذا إتسخت ثيابى أثناء تناولى الطعام .... إذا لم أستطع أن أرتدى ملابسى بمفردى ...

تذكر الساعات التي قضيتها لأعلمك تلك الأشياء



إذا تحدثت إليك وكررت نفس الكلمات ونفس الحديث آلاف المرات ..... لا تضجر منى

لا تقاطعنى .... وأنصت إلى



عندما كنت صغيراً يا بنى , قرأت لك نفس القصه

إلى ان تنام



عندما لا أريد أن استحم.. لا تعايرنى ولا تتسلط على

تذكر عندما كنت أطاردك وأعطيك الآف الأعذار لأدعوك للإستحمام




عندما ترانى لا أستطيع

أن أجارى وأتعلم التكنولوجيا الحديثه اعطني

فقط الوقت الكافي ... ولا تنظر إلى بإبتسامه ماكره وساخره


تذكر أننى الذى علمتك كيف تفعل أشياء كثيره ... كيف

تاكل.. كيف ترتدى ملابسك .. كيف تستحم ... كيف تواجه الحياه



عندما أفقد ذاكرتى أو أتخبط في حديثى ... إعطنى الوقت الكافى لأتذكر

و إذا لم أستطع .... لا تفقد أعصابك ... حتى ولو كان حديثى غير مهم ... فيجب أن تنصت إلىَ


إذا لم أرغب بالطعام .. لا ترغمنى عليه

عندما اجوع سوف آكله




عندما لا أستطيع السير بسبب قدمى المريضه

أعطنى يدك ... بنفس الحب و الطريقه

التى فعلتها معك لتخطوا خطوتك الأولى




عندما يحين اليوم الذى أقول لك فيه إننى مشتاق للقاء الله ...


فلا تحزن

ولا تبكى

فسوف تفهم في يوم من الأيام

حاول أن تتفهم أن عمرى ألآن قد قارب على الإنتهاء

وفى يوم من الأيام سوف تكتشف أنه بالرغم من أخطائى فإننى كنت دائماً أريد أفضل الأشياء لك ... وقد حاولت أن أمهد لك جميع الطرق



ساعدنى على السير ... ساعدنى على تجاوز طريقى بالحب و الصبر ... مثلما فعلت معك دائماً

ساعدنى يا بنى على الوصول إلى النهايه بسلام ..


أتمنى أن لا تشعر بالحزن ولا حتى بالعجزحين تدنوا ساعتى

فيجب أن تكون بجانبى وبقربى ... وتحاول أن تحتوينى... مثلما فعلت معك عندما

بدأت الحياه

أحبك يا بني العزيز

أبـــــوك

وبالوالدين أحساناً

vendredi 23 mai 2008

AMOUR PATERNEL



AMOUR PATERNEL

Un vieillard qui vivait seul , voulait semer ses patates au jardin, mais, c'était un travail très pénible, car, il lui fallait retourner toute la terre. Kevin, son fils unique qui habituellement l'aidait pour cette tâche était en prison. Le vieil homme écrit donc une lettre à son fils dans laquelle il y décrit sa situation difficile :



Cher fils,


Je me sens très malheureux, parce qu'il me semble bien que cette année, je ne serai pas capable de planter mes patates au jardin. Je suis trop vieux pour pouvoir creuser et retourner la terre du carré de jardin. Si tu étais ici, tous mes problèmes seraient résolus. Je sais que tu creuserais et retournerais la terre du carré pour moi.

Avec amour,

Papa



Quelques jours plus tard, il reçut une lettre de son fils :



Cher papa,

Pour l'amour du ciel, papa, ne creuse pas dans le jardin, c'est là que j'ai enterré les CORPS.

Avec amour,
ton fils


A 5:00 AM, le matin suivant, une nuée d'agents de la police accompagnés de la protection
civile arrivèrent et se mirent à creuser tout le carré du jardin sans trouver aucun cadavre.
Dépités, ils s'excusèrent auprès du vieillard et quittèrent les lieux.


Le même jour, le vieil homme reçut une autre lettre de son fils :



Cher Papa,

Vas-y, maintenant, tu peux planter tes patates. C'est le mieux que je puisse faire dans ces circonstances.

Avec amour,

ton fils

Auteur inconnu


mercredi 21 mai 2008

N'abandonne surtout pas



N'abandonne surtout pas !

Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.

Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.

Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir,
ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.

Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.

Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.

Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.

Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...

Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.



LE PETIT GARCON ET SES CLOUS



LE PETIT GARCON ET SES CLOUS

C'est l'histoire d'un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.


Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent, à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture... Il découvrit qu'il était plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la clôture...


Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur. Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l'amena à la clôture. Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. A chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi néfaste qu'une offense physique. Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur cœur."

Auteur inconnu


mardi 20 mai 2008

La jeune femme et sa mère



Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu’elle ne sait pas si elle veut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu’aussitôt qu’un problème est réglé, un autre apparaît.

Sa mère l’amène à la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d’eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé.

Bientôt, l’eau commence à bouillir.

Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus.

Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière, elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis elle verse le café dans une carafe.
Se tournant vers sa fille, elle dit: ¨Dis moi, que vois-tu?¨ ¨Des carottes,des oeufs et du café¨, répond sa fille.

La femme l’amène plus près et lui demande de toucher les carottes. La fille les touche et note qu’elles sont molles et souples. La mère lui demande alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enlève la coquille d’un oeuf et observe qu’il est cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café.

La fille sourit comme elle goûte son arôme riche.

La fille demande alors:¨Qu’est-ce que ça veut dire, maman?¨ Sa mère explique que chaque objet a fait face à la même eau bouillante, mais que chacun réagit différement.

La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l’eau bouillante, elle a ramollie et est devenue faible.

L’oeuf était fragile avec l’intérieur fluide. Mais après être passé dans l’eau bouillante,son intérieur est devenu dur.

Les grains de café moulus ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l’eau bouillante, ils ont changé l’eau.

¨Lequel es-tu?¨demande la mère à sa fille. ¨Lorsque l’adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte ,un oeuf ou un grain de café? Penses-y?


¨Suis-je la carotte qui semble forte mais qui, dans la douleur et l’adversité, devient molle et perd sa force?


Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur? Est-ce que ma coquille ne change pas mais mon intérieur devient un coeur dur?


Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l’eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l’eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme le grain de café, tu deviens meilleur et tu changes la situation autour de toi lorsque les choses sont à leur pire.¨


Comment réagissez-vous face à l’adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?


Une histoire...


J'ai lu cette belle histoire et j'ai voulu la partager avec vous mes chers visiteurs



L'arbre à soucis

Un jour, j'ai retenu les services d'un menuisier pour m'aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l'âme, et pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick-up refusait de démarrer.


Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m'invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions le long de l'allée qui conduisait à la maison, il s'arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.



Lorsqu'il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit. Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.


Lorsqu'il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l'arbre, la curiosité s'empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt.


"C'est mon arbre à soucis," me répondit-il. "Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n'ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants. Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin".


"Ce qu'il y a de plus drôle", il sourit, "c'est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés.



Auteur inconnu

TIME




Le Temps


Supposons qu'une banque dépose dans votre compte,
chaque matin, un montant de 86,400$.
Elle ne garderait aucun solde d'une journée à l'autre.
Chaque soir, on effacerait tout ce que
vous n'auriez pas utilisé durant le jour.
Que feriez-vous?
Retirer jusqu'au dernier sou, bien sûr!!!!



Chacun de nous a une telle banque.
Son nom est le TEMPS.
Chaque matin, on dépose à votre compte, 86,400 secondes.
Chaque soir, on efface tout ce que vous n'avez pas utilisé
pour accomplir ce qu'il y a de mieux.
Il ne reste rien au compte.
Vous ne pouvez pas aller dans le rouge.



Chaque jour, un nouveau dépôt est fait.
Chaque soir, le solde est éliminé.
Si vous n'utilisez pas tout le dépôt de la journée,
vous perdez ce qui reste.
Rien ne sera remboursé.
On ne peut pas emprunter sur « demain ».
Vous devez vivre avec le présent avec le dépôt d'aujourd'hui.
Investissez-le de façon à obtenir le maximum
en santé, bonheur et succès!
L'horloge avance.
Faites le maximum aujourd'hui.



Pour réaliser la valeur d'UNE ANNÉE,
demandez à un étudiant qui a doublé son année.



Pour prendre conscience de la valeur d'UN MOIS,
demandez à une mère qui a accouché prématurément.



Pour connaître la valeur d'UNE SEMAINE,
demandez à l'éditeur d'un hebdomadaire.



Pour connaître la valeur d'UNE HEURE,
demandez aux amoureux qui sont temporairement séparés.



Pour comprendre la valeur d'UNE MINUTE,
demandez à une personne qui a manqué son train.



Pour réaliser la valeur d'UNE SECONDE,
demandez qui vient juste d'éviter un accident.



Pour comprendre la valeur d'UNE MILLISECONDE,
demandez à celui ou celle qui a gagné
une médaille d'argent aux Olympiques.



Apprécions chaque moment que nous avons!
Et apprécions-le plus quand nous le partageons
avec quelqu'un de spécial,
assez spécial pour avoir besoin de votre temps.
Et rappelons-nous que le temps n'attend après personne.



HIER fait partie de l'histoire.
DEMAIN demeure un mystère.
AUJOURD'HUI est un cadeau.
C'est pour ça qu'on dit que c'est le PRÉSENT !!


Auteur inconnu

samedi 17 mai 2008

La leçon du Papillon



La leçon du Papillon




Un jour apparut un petit trou dans un cocon…


Un homme qui passait là par hasard, s'arrêta de longues heures pour observer le papillon qui s'efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, ce fut comme si le papillon avait abandonné et le trou demeurait toujours aussi petit.


Le papillon avait fait tout ce qu'il avait pu et il ne pouvait plus rien faire d'autre. L'homme décida d'aider le papillon. Avec un canif, il ouvrit le cocon et libéra le papillon.


Celui-ci sortit aussitôt, mais son corps était maigre et engourdi et ses ailes peu développées bougeaient à peine. L'homme continua à observer, pensant que les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon afin qu'il prenne son envol.


Il n'en fut rien !


Le papillon passa le reste de son existence à se traîner à terre avec son corps maigre et ses ailes rachitiques. Jamais il ne put voler !


Ce que l'homme, avec son geste de générosité, n'avait pas compris, c'est que le passage par le trou étroit du cocon, est l'effort pour que le papillon puisse transmettre la force de son corps vers ses ailes afin de pouvoir voler.


C'est le moule à travers duquel la Vie le fait passer pour grandir et se développer. Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.


Si on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne serions pas aussi forts. Nous ne pourrions jamais voler !!


J'ai demandé la force
Et la Vie m'a donné des difficultés pour me renforcer.


J'ai demandé la sagesse
Et la Vie m'a donné des problèmes à résoudre.


J'ai demandé la prospérité
Et la Vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.


J'ai demandé à pouvoir voler
Et la Vie m'a donné des obstacles à surmonter.


J'ai demandé l'amour
Et la Vie m'a donné la possibilité d'aider les autres.


J'ai demandé des faveurs,
Et la Vie m'a donné des potentialités.


Je n'ai rien reçu de tout ce que j'avais demandé
Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.


Vis ta Vie sans peur, affronte tous les obstacles et vois que tu peux les surmonter.




Source inconnue


Savoir où l'on va...



Savoir où l'on va...



L’homme avec sa longue barbe blanche

était silencieux... et moi d'abord ce silence ça me faisait penser trop vite et n'importe quoi.



L’homme avec sa longue barbe blanche me dit: "Sois témoin... Regarde passer... comme les nuages dans le ciel."



Puis il redevint silencieux... et ce Silence devint si présent... que j'avais l'impression de pouvoir le toucher du bout des doigts.



Vous entendez... le Silence?



Maintenant quand j'écoute le Silence, je pense à la toute Présence du Mystère de la Vie.


C'est ma manière de
m'émerveiller de la grande Vie.



L’homme avec sa longue barbe
blanche
recommença à parler: "Ne pars pas avant de savoir où tu t'en vas. Nous sommes mortels. Nous avons chacun notre heure. Nous sommes poussières d'étoiles. Nous sommes poussières du mystère de la Vie... au cœur même du Mystère d'Etre.



La vie et la mort sont les faces du même Mystère. Ne pars pas avant de savoir où tu t'en vas."



Je l'écoutais comme hypnotisé et une lumière blanche et étourdissante a enivré mon esprit. Et je dis à l’homme avec sa longue barbe blanche comme si j'étais un somnambule:



"Quand vous m'avez dit.
'Ne pars pas avant de savoir où tu t'en vas' J'ai vu une lumière incroyable... irréelle."



L’homme avec sa longue barbe blanche me prit la main et me dit.



"Cette Lumière, c'est là que nous allons tous!." Je me réveillai le lendemain matin. Je ne savais plus si j'avais rêvé ou si j'avais vraiment rencontré cet homme avec sa longue barbe blanche.



Mais de la Lumière, je suis sûr.

Cette Lumière, je la vois encore.



Chaque fois que je pense à la

mort, je vois la lumière et je m'en émerveille.


Bonne méditation


Une petite histoire en cadeau pour tous ceux qui sont stressés et les autres en devenir.



Un jour, un vieux professeur de l'école nationale d'administration publique fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation, donc qu'une heure pour "passer sa matière".


Debout devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un lentement, puis leur dit: "Nous allons réaliser une expérience".


De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite il sortit une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un dans le grand pot.


Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda:


"Est-ce que ce pot est plein?"


Tous répondirent: "Oui!"


Il attendit quelques secondes et il ajouta: "Vraiment?"


Alors il se pencha de nouveau et sortit de dessous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie il versa ce gravier sur les gros cailloux, puis brassa légèrement le pot.


Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda:


"Est-ce que ce pot est plein?"


Cette fois ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.


L'un d'eux répondit: "Probablement pas!"


"Bien!", répondit le vieux prof.


Il se pencha de nouveau et cette fois-ci sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.


Encore une fois il demanda: "Est-ce que ce pot est plein?"


Cette fois sans hésiter, et en chœur, les brillants élèves répondirent:


"Non!"


"Bien!", répondit le vieux prof.


Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux sur son groupe et demanda:


"Que nous démontre cette expérience?"


Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit:


"Cela démontre que lorsque que l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire."


"Non, répondit le prof, ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux dans le pot en premier on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite."


Il y eut un grand silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors:


"Quels sont les gros cailloux dans votre vie? Votre santé, votre famille, vos amis, réaliser vos rêves, faire ce que vous aimez, apprendre, défendre une cause, vous relaxer, prendre le temps, ou autre chose?

Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ces gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne la priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura probablement pas le temps pour les éléments importants de sa vie.

Alors n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question:

Quels sont les gros cailloux dans ma vie? Ensuite mettez-les en premier dans vos vies."


D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.


Bonne méditation!