mardi 28 octobre 2008

Hier, aujourd'hui et demain

Hier, aujourd'hui et demain

Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.


Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.


L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.



Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.



Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.


À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !

dimanche 26 octobre 2008

Un monde meilleur


Un monde meilleur

Il y a des moments dans la vie
où la présence de l'autre nous manque tellement
qu'on espère sans cesse sa présence



Rêve à ce qui te fait plaisir
va où tu veux aller
sois où tu aimerais être
parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux



Que sur ton chemin tu trouves...
suffisamment de bonheur pour rester doux
suffisamment d'épreuves pour devenir fort
suffisamment de peine pour rester humain
suffisamment d'espoir pour être heureux


Les personnes les plus heureuses
n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ;
simplement, elles exploitent au maximum
tout ce qui se trouve sur leur route



Le bonheur attend...
ceux qui pleurent, ceux qui souffrent,
ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent,
ceux qui s'aiment...
parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses
qui laissent des traces dans la vie



Oublie le passé,
abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines,
l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser


Ce message est destiné à toutes les personnes qui signifient quelque chose pour moi
à celles qui ont marqué ma vie d'une façon ou d'une autre...
à celles qui m'ont fait sourire quand j'en avais le plus besoin...
à celles qui m'ont fait voir le bon côté des choses quand je voyais seulement le pire...
à toutes celles à qui je veux dire combien j'apprécie leurs amitiés
ou simplement... merci de m'avoir donné un aperçu d'un monde meilleur.

samedi 25 octobre 2008

votre valeur n'aura pas changé


Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 euros.

Il demande aux gens : Qui aimerait avoir ce billet ?
Les mains commencent à se lever alors il dit : Je vais donner ce billet de 20 euros à quelqu'un d'entre vous mais avant laissez moi faire quelque chose avec.

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?
Les mains continuent à se lever.

Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande : Qui veut encore avoir ce billet ?
Évidemment, les mains continuent de se lever !

Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon...
Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 20 euros.

Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte.

lundi 20 octobre 2008

Ma relation avec toi



Ma relation avec toi

TOI et MOI vivons une relation que j'estime et que je veux sauvegarder.


Chacun de nous demeure cependant une personne distincte ayant ses propres besoins et le droit de les satisfaire. Je veux respecter ton droit de choisir tes propres croyances et d'établir tes propres valeurs même si elles diffèrent des miennes.



Lorsque tu me parles de tes problèmes, je veux t'écouter pour te comprendre et t'aider à découvrir tes propres solutions plutôt que de répondre des miennes.



Lorsque ma façon d'agir t'empêche de satisfaire tes besoins, je t'encourage à me dire ouvertement et sincèrement ce que tu ressens; alors je t'écoute et j'essaie de modifier mon comportement.



Lorsque ta façon d'agir m'empêche de satisfaire mes besoins, je t'exprime ouvertement et sincèrement mes sentiments, car j'ai confiance que tu respectes suffisamment mes besoins pour m'écouter et essayer de modifier ton comportement.



Dans les situations où, ni toi et ni moi, ne pouvons changer notre façon d'agir pour permettre à l'autre de satisfaire ses besoins, engageons nous à résoudre ces inévitables conflits sans recourir au pouvoir pour gagner aux dépends de l'autre. Je respecte tes besoins et je veux aussi respecter les miens. Appliquons-nous à trouver des solutions acceptables pour chacun de nous ; tu peux y satisfaire tes besoins et moi aussi. Personne ne perd, nous y gagnons tous les deux.



Ainsi, nous continuons à nous épanouir l'un et l'autre car nous en retirons, toi et moi, satisfaction. Chacun de nous peut devenir ce qu'il est capable d'être.



Nous poursuivons notre relation dans le respect et l'amour mutuel, dans l'amitié et la paix.


T.G


Comment sont les gens ?



Comment sont les gens ?

Il était une fois un vieil homme assis à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient.

Un jeune homme s'approcha et lui dit :
- Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?


Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?
- Egoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir, dit le jeune homme.


Le vieillard répondit:
- Tu trouveras les mêmes gens ici.


Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et lui posa exactement la même question.


- Je viens d'arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?


Le vieille homme répondit de même :
- Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ?


- Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.


- Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.


Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche :


- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?


- Celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son cœur.


Le bâtisseur de ponts


Le bâtisseur de ponts

Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux.

Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines.

Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire...
- Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir.

L'homme répondit :
- Je crois que je comprends la situation.

L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine.

Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant :
- Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi !

Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir.
- Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi.

Mais il répondit :
- Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire...

Anonyme