mardi 5 juin 2012

Ne laisse jamais quelqu'un te dire que tu ne peux pas faire quelque chose.




Je me compare à une vague ... Mon moral monte et descend dans un mouvement semblable à celui de l'océan. Quand je me sens parfaitement bien, on peut dire que je surfe sur la crête de la vague, mais soudain je change d'humeur et je me retrouve au creux de la vague. Cet effondrement n'est que temporaire car, dès que j’atteins le fond de ce creux, mon humeur commence aussitôt à changer et je reprends progressivement confiance en moi. Et automatiquement, je reviens sur la crête de la vague


Aujourd'hui je me sens plus proche du creux, je me sens comme dans un puits. Je plonge dans des souvenirs lointains, j'essaie de dévoiler mon destin, de retrouver le bout de mon chemin.

Je me rappelle de mes années à la faculté... Cinq ans d'externat, cinq ans de stress continu, révisions, stages, examens, sandwich, pizza pourrie, quelques amis et beaucoup d'ennuis...
Une année d'internat suivie d’une autre de service militaire: début de ma carrière professionnelle... pure exploitation ... moments de joie... moments de stress, de tristesse et d'épuisement ...
Maintenant, dans mon cabinet, affronté à des tas de cas ... malgré moi... Il faut que je bosse et que je me taise, pour une vie professionnelle assez dure, enchaînées, d'éventuels bonheurs et de malaise.

 Je me rappelle de ces affaires arrangées, ces discussions insensées, ces déceptions ... je sens le cœur mutilé ! Je suis dégoûté !
Maintenant, chez moi, en instance d'harmonie et de paix ... malgré moi... je me sens fatigué ...


Mais non ! Je ne déprime pas, rien qu'en voyant ma chère famille, mes amis, les personnes que j'aime, qui m'aiment autour de moi ...

je laisse tout et je sors ...
Je marche seul, en silence je remets absolument tout en question, même ce que l’on est… Et au milieu de tout ça, je me dis que pour garder l’envie d’avancer, il faut que je profite de toutes les petites choses de la vie qui arrivent à me redonner du baume au cœur ... je me réjouis de la beauté des étoiles, du ciel, je m’émerveille de toutes petites choses du quotidien, de la nature, de tout ce qu’il m’entoure… J'entends soudain cette douce voix, me disant : ton cœur manque de patience, manque de foi !
je comprends enfin pourquoi je sens toute cette peine, tout ce désarroi.
Alors, je me relève, je prie que mes rêves s'achèvent.
Je vois enfin une petite lumière... la flamme d'une chandelle ... réelle ou imaginaire ? je la regarde de loin, la tête en l'air, les pieds sur terre ...
j'attends, je prie, je parle, je me tais, je souris... je lutte, je cède, je reprends, je bosse... je sens cette force en moi qui grandit ... je comprends enfin ce que ce signifie... 
ce fameux..

 "Don't ever let someone tell you that you can't do something. Not even me. You got a dream, you gotta protect it. When people can't do something themselves, they're gonna tell you that you can't do it. You want something, go get it." !


je vous laisse avec ce passage que j'aime trop extrait du film intitulé "The Pursuit Of Happyness" inspiré d'une histoire vraie, celle de Chris Gardner 

mercredi 2 novembre 2011

Quel chemin...




Je sais compter, lire, écrire, marcher
 Je sais d'où je viens, où j'habite, quelles sont mes racines

Je sais le nom de quelques fleurs, quelques arbres, quelques lacs

Je sais m'occuper médicalement de la bouche, des dents, des gencives, des maxillaires, réparer le sourire

Je sais ce que j'aime, ce que je n'aime pas
Je sais ce que je ne voudrai pas être, ce que je ne voudrai pas faire

Mais je ne sais pas si ce que je fais est la bonne chose à faire, si le choix que je fais est le bon, si je dois prendre telle ou telle décision tout en préservant ce que je pense être et sans trop avoir de dommages collatéraux


Je n'ai pas envie de me perdre dans les chemins de la vie, me retrouver dans un cul de sac ou être perdu au milieu d'une cuvette de montagnes sans trop savoir où aller

J'ai peur de faire un pas de trop en avant, sachant que je ne pourrai pas revenir en arrière

Faudrait-il que je cours droit devant moi sans réfléchir?! M'abandonner à la course frénétique de mes jambes sans trop savoir où elles me mèneront?!

Ou dois-je rester assis là , sur cette pierre, et m'imaginer quel pourrait être mon destin si je prend à gauche, au milieu ou à droite de cet arbre qui se trouve devant moi

Le vent, pourrait-il m'aider en me sifflotant des conseils, en frôlant ma peau, pour me stimuler à nouveau, pour me remettre sur le droit chemin?!

Mais la forêt est extrêmement calme, parfaitement sereine, alors que moi je suis empli de sentiments qui se bousculent et qui créent en moi comme des énormes vagues qui déferlent et viennent se heurter violemment entre elles, chacune à leurs tours s'élevant toujours plus haut
Appeler à l'aide, mais ne pas vraiment avoir de réponse hormis l'écho de ma voix qui me ramène à mon point de départ

Fermer les yeux, penser à une petite rivière qui coule avec harmonie mais me retrouver tout en haut d'une cascade me ramenant au sein des vagues toujours empreintes de leur force et de leur virulence

Alors, se décaler un peu, observer la beauté d'un bouton de rose, la goutte de rosée cachée dans le creux d'une petite fleur, la naissance d'un papillon, les nervures d'une feuille, écouter le chant d'un oiseau, le clapotement d'un tout petit ruisseau, se dire que la nature est éblouissante et sereine, apprécier ces choses merveilleuses que l'on nous offre précieusement en espérant que l'on pourra l'apprécier

Se laisser apaiser par tout ça, et attendre, patienter jusqu'à ce que le moment vienne, moment où je saurai quel chemin prendre

lundi 26 septembre 2011



L'espoir, la petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes quand il y fait noir, tout noir.
C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière.
Dans la guerre, dans le deuil, dans la souffrance de la maladie ou de l'abandon, dans la solitude et la tristesse, c'est parce que l’on sait garder l'espoir que l'on réussit à sortir du trou.

Seulement l'espoir est comme une plante, il se cultive, il a besoin de soins : c'est la petite fleur sur son astre désert qu'arrosé sans cesse le Petit Prince afin qu'elle vive et soit un témoin d'amour. « C'est en croyant aux rosés qu'on les fait éclore », disait aussi Anatole France : en effet, par l'attention qu'on porte aux choses, aux êtres, aux situations et à soi-même, l'évolution se féconde, le progrès germe graduellement et la création finit par y refleurir.

mardi 6 septembre 2011

I know the road is long





I know I’m waiting
Waiting for something
Something to happen to me
But this waiting comes with
Trials and challenges
Nothing in life is free

I wish that somehow
You’d tell me out aloud
That on that day I’ll be ok
But we’ll never know cause
That’s not the way it works
Help me find my way

 
My Lord show me right from wrong
Give me light make me strong
I know the road is long
Make me strong
Sometimes it just gets too much
I feel that I’ve lost touch
I know I’m waiting
Yearning for something
Something known only to me
This waiting comes with
Trials and challenges
Life is one mystery
I wish that somehow
 
You’d tell me out aloud
That on that day you’ll forgive me
But we’ll never know cause
That’s not the way it works
I beg for your mercy




mardi 19 avril 2011

لهفتي إليكم قائمة...


إلى كل الذين يغيبونَ ستبقى الوجــــوهُ
على الصّخرِ نقشاً بمرِّ السنينْ.....
إلى كل الذين أحبوني.......
إلى كل الذين دخلوا باب قلبي ولم يتمسحوا بأعتاب اللغة
وزرعوا عشبا في قحطي... إلى الذين احتضنوني وصوّبوا طريقي ولم يعنفوني.. إلى الذين لم يفهموني ،، لكنّهم لم يؤذوني ...

الى كل الذين علموني الصمت في قمه الغضب ..
وعلموني الفلسفة عندما يحتاجها مني الزمان
وعلموني أن الابتسامة تكفي ليفهمني الآخرون...

لهفتي إليكم قائمة..
 سفني إليكم راحلة
مهجة النفس حولكم ترنو الطواف،، في غيث عشق أبديّ لا يستوعبه،، عبّاد الجفاف ..


شكراً لكل الذين حين أحبهم لا أتألم لا أبكي لا أتعب ..

شكراً لأنهم بهجة و سنابل سعادة .. و مطر .. وحياة أخرى !

شكراً لأنّهم غيمة خفيفة ممطرة .. و لانحتاج لإستعادة حضورهم 

صلاة الأستستقاء






mardi 21 décembre 2010

Aimer, c'est...


Aimer, c'est tenir dans sa main la main de l'autre, en sachant que l'on tient sa vie. C'est la regarder dormir, rêver de sa peau, être hanté par ses yeux, rechercher son odeur, ne vouloir voir que son sourire, pleurer simplement sans savoir pourquoi dans ses bras, avoir besoin de son regard, frémir à son contact, la connaître par coeur et l'aimer pourtant, deviner ses pensées, pouvoir lister tous ses défauts et la trouver parfaite, avoir juste envie de l'entendre rire, connaître ses peurs et l'en protéger, connaître ses rêves et l'en rapprocher, lui parler des heures, de soi, d'elle, d'un "nous" si précieux, et pouvoir recommencer, la désirer sans cesse et savoir qu'elle le sait, l'embrasser, la retenir, la serrer, l'étreindre, vouloir vivre cent ans pour tout faire avec elle, lui faire des promesses même si elles ne seront pas tenues pour prouver qu'on y croit et qu'on veut pour toujours oublier son prénom sous de jolis surnoms, lui préparer quelque chose à manger surtout si l'on ne sait pas cuisiner, la trouver jolie dans sa tenue de tous les jours et le lui chuchoter à l'oreille, ou l'hurler à l'oreille du monde, lui offrir une fleur pour voir ses yeux briller, lui offrir une lettre pour voir ses mains trembler, ne pas savoir quoi dire et aimer ce silence si complice,  et pouvoir à jamais compléter cette liste...

mercredi 4 août 2010

les histoires d'amour C'est comme les voyages en train



J'crois que les histoires d'amour C'est comme les voyages en train
 Et quand j'vois tous ces voyageurs 
Parfois j'aimerais en être un 
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ? Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?
 Les trains démarrent souvent au moment où on s'y attend le moins Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins
 Les témoins c'est tes potes qui te disent au-revoir sur le quai Et regardent le train s'éloigner avec un sourir inquiet
 Toi aussi tu leur fait signe et t'imagines leurs commentaires
 Certains pensent que tu te plantes et qu't'as pas les pieds sur terre
 Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage
 Pour la plupart le train va dérailler dès le premier orage 
Le grand amour change forcément ton comportement 
Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment 
Siège couloir ou contre la vitre y faut trouver la bonne place 
Tu choisis quoi ? Une love story d'première ou d'seconde classe ? 
Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage 
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages 
Tu t'sens vivant, tu t'sens léger et tu ne vois pas passer l'heure 
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile 
Toi tu dis qu'tu n'y es pour rien et qu'c'est sa faute à elle 
Le ronronnement du train te saoule et chaque viage t'écoeure 
Faut qu'tu t'lèves que tu marches, tu vas t'dégourdir le coeur Et le train ralentit c'est d'jà la fin d'ton histoire 
En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare 
Tu dis au r'voir à celle que t'appel'ras désormais ton ex 
Dans son agenda sur ton nom, elle va passer un coup d'tip-ex 
C'est vrai qu'les histoires d'amour c'est comme les voyages en train 
Et quand j'vois tous ces voyageurs parfois j'aim'rais en être un Pourquoi tu crois qu'tant d'gens attendent sur le quai d'la gare ? 
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en r'tard ? 
Pour beaucoup la vie s'résume à essayer d'monter dans l'train 
A connaitre ce qu'est l'amour et s'découvrir plein d'entrain
 Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure 
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur Il est facile de prendre un train, encore faut-il prendre le bon 

Moi chui monté dans deux-trois rames mais c'était pas l'bon wagon Car les trains sont capricieux et certains son inaccessibles Et je n'crois pas tout l'temps qu'avec la sncf c'est possible 
Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves Et y ceux qui foncent dans l'premier train sans faire attention Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station 
Y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives 
Pour elles c'est trop risqué d's'accrocher à la locomotive 
Et y a les aventuriers qu'enchainent voyage sur voyage Dès qu'une histoire est terminée, ils attaquent une autre page 
Moi après mon seul vai voyage j'ai souffert pendant des mois 
On s'est quittés d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi 
Depuis j'traine sur le quai, j'regarde les trains au départ Y a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare j'me sens à part 
Y parait qu'les voyages en train finissent mal en général Si pour toi c'est l'cas accroche-toi et garde le moral Car une chose est certaine y aura toujours un terminus 

Maint'nant tu es prév'nu, la prochaine fois tu prendras l'bus...

(très belle interprétation de grand corps malade)

vendredi 30 juillet 2010

une longue échelle vers le ciel




« Tout guerrier de la lumière a déjà perdu la foi en l'avenir. Tout guerrier de la lumière a eu peur de s'engager dans le combat. Tout guerrier de la lumière a trahi et menti par le passé. Tout guerrier de la lumière a déjà perdu la foi en l'avenir. Tout guerrier de la lumière a souffert pour des choses sans importance. Tout guerrier de la lumière a douté d'être un guerrier de la lumière. Tout guerrier de la lumière a manqué à ses obligations spirituelles. Tout guerrier de la lumière a dit oui quand il voulait dire non. Tout guerrier de la lumière a blessé quelqu'un qu'il aimait. C'est pour cela qu'il est un guerrier de la lumière ; parce qu'il est passé par toutes ces expériences et n'a pas perdu l'espoir de devenir meilleur ! » "Manuel du Guerrier de la Lumière" de Paulo Coelho

lundi 28 juin 2010

Un' altra te



Un' altra te
dove la trovo io
un'altra che
sorprenda me
Un' altra te
un guaio simile..
chissÁ se c'É
un'altra te con gli stessi tuoi discorsi
quelle tue espressioni
che in un altro viso cogliere non so
quegli sguardi sempre attenti
ai miei spostamenti
quando dal tuo spazio me ne uscivo un pÔ
con la stessa fantasia
la capacitÁ di tenere i ritmi indiavolati degli umori miei
un'altra come te
ma ne nemmeno se la invento c'e'
mi sembra chiaro che
sono ancora impantanato con te
ed É sempre piÝ
evidente...
E mi manca ogni sera la tua
gelosia anche se poi era forse piÝ la mia
E mi mancano i miei occhi che sono
rimasti li dove io li avevo appoggiati
quindi su di te
mi sembra chiaro
che un'altra come te
ma nemmeno se la invento c'É
mi sembra chiaro che
sono ancora impantanato con te
ed É sempre piÝ preoccupante
Ma un'altra te

lundi 21 juin 2010

Mon Iceberg

J’ai tout le temps froid en permanence. Est-ce parce que je me refuse à aimer ? Peut-être!!! Mais j’ai froid, si froid. Rien ne parvient à me réchauffer,rien. Ou lorsqu’enfin je ressens un peu de chaleur, vite, elle s’en va et le froid réapparait. C’est ce froid dans mon cœur qui m’empêche de me réchauffer.je ne ressens rien. Rien que le froid qui me glace depuis bien trop longtemps, beaucoup trop longtemps. Cette carapace de glace qui me protège tout en me faisant souffrir.


 Je hais le froid, il me glace, me gèle et m’empêche de ressentir quoique ce soit. Pourtant, c’est ma survie, ma coquille


Je sais que c’est parce que j’ai refusé d’ouvrir mon cœur à l’amour. J’ai refusé d’aimer, pour ne pas souffrir.  Ce froid si protecteur, est devenue mon quotidien, ma punition pour ne pas aimer. . .mais jusqu'à quand? 



 Parfois la peur nous rend égoïste ou plutôt lorsqu'on ne peut pas savoir où on va, on préfère se protéger.... 

يارب اجمعني بمن احب في جناتك جنات النعيم, يارب اجمعني بصحبتي وبكل من احب في الدنيا والأخرة يارب

dimanche 30 mai 2010

aucune dédicace


 aucune dédicace ne serait témoin de mon profond amour, mon immense gratitude et mon plus grand respect, car je ne pourrait jamais oublier la tendresse et l’amour dévoué par lesquels vous m'avez toujours entourer depuis ma naissance. 

Maman je vous je dois ce que je suis et ce que je serais, je ferais toujours de mon mieux pour rester un sujet de fierté à vos yeux.

Que DIEU préserve votre santé et vous accorde longue vie pleine de bonheur

je t'aime MAMAN 

mardi 25 mai 2010

des silences



Il est des silences de toutes sortes:
-des silences prisons où vous êtes enfermé plus sûrement que dans la plus haute tour du château.
-des silences meurtriers qui vous maintiennent dans l'a quoi bon et le défaitisme
-des silences hautains qui vous font paraître moins que rien

Mais il est des silences vivifiants
des silences dont on goûte la saveur à l'égal d'un délicieux chocolat
des silences que l'on écoute comme la plus belle des musiques.
Il est des silences nécessaires pour que naisse la parole juste,pour qu'une rencontre authentique ait lieu
des silences qui seuls ont un sens quand les mots n'en ont plus.
 des silences emplis de présence

Et vous comment vivez vous le silence?

pour moi je préfère me taire
et parler avec les yeux
et inonder
le silence de lumière.

jeudi 20 mai 2010

labyrinthe



Le vrai labyrinthe est un endroit d’où l’on ne sort jamais.
Le vrai labyrinthe a une seule ouverture qu’il est souvent difficile de trouver, mais il n’a aucune issue ; pas même cette improbable entrée que de toute façon on oubliera bien vite.

L’intérêt d’un vrai labyrinthe, c’est de le découvrir entièrement ; d’en visiter chaque couloir, chaque escalier, chaque cellule, chaque salle, chaque chambre qui en fait ne seront jamais les mêmes à chaque passage.

La force et le mystère d’un vrai labyrinthe, c’est qu’il nous amène à en refaire les plans à tous les carrefours ou au fond de toutes ses impasses.

Le secret du labyrinthe est dans le milieu, dans son cœur où brillent, se morfondent ou battent encore sans doute bien des secrets ou des mythe
s.

un peu de délire ...je retourne au boulot

mardi 13 avril 2010

التناقضات


فشلت جميع محاولاتي
في أن أفسر موقفي
فشلت جميع محاولاتي
مازلت تتهمينني
كأني هوائي المزاج , ونرجسي
في جميع تصرفاتي
مازلت تعتبرينني
كقطار نصف الليل .. أنسى دائما
أسماء ركابي
فأنا كماء البحر في مدي وفي جزري وعمق تحولاتي
إن التناقض في دمي وأنا احب
تناقضاتي
ماذا سأفعل يا صديقه
هكذا رسمت حياتي
..منذ الخليقة .. هكذا رسمت حياتي




 نزار قباني 

lundi 8 mars 2010

ça sert à ça les amis non ?





J’ai des problèmes avec mon cœur ces derniers temps. Jusqu'au là nous avons été de bons termes lui et moi…Bon, il se faisait plus ou moins discret, ne parlait pas beaucoup, il vivait sa vie de bohème tranquillement…et moi je vivais la mienne de la même façon.


Il a eut aussi des moments où il avait besoin de moi et j’étais là pour lui…parfois des petites tachycardies, mais rien de grave. Il est un peu trop émotif et impulsif, mais je l’ai accepté tel qu’il était…oui un peu niais et naïf sur les bords, mais c’est ce qui faisait son charme.


A l’époque, je me rappelle, on avait des discussions passionnantes et intéressantes et j’apprenais avec lui beaucoup de choses sur les sentiments, l’amour, la peur, l’attachement… et en contre parti je lui apprenais comment faire face à tous ces sentiments qui peuvent être dévastateurs…


Mais depuis un petit bout de temps, il n’est plus comme avant. Il se laisse aller, ne plaide plus aucune cause, ni celle de l’amour, ni celle de la haine…il devient fragile…bref on ne communique plus.


Lui qui était si ambitieux à l’époque, maintenant il n’est plus qu’un gros tas (j’exagère un peu, il ne pèse pas beaucoup, m’enfin je sais pas pourquoi, il est assez lourd quand même) .Il ne veut plus faire d’effort pour personne, se contente de critiquer les autres et de dire qu’il est fatigué.


Et alors le plus étonnant c’est que maintenant, soit il est carrément absent, soit il se met à faire des monologues, mais d’un ennui mortel…et ne s’arrête plus de parler … de lui, de sa souffrance, de son désespoir, de son entourage qui ne le comprend plus (en l’occurrence moi) …et comme une petite voix, il me gâche mes petits moments de plaisirs. On dirait qu’il le fait exprès. Vous voyez le genre de commentaires qui cassent l’ambiance quand vous êtes entrain de diner avec des amis, ou quand vous êtes tranquillement dans votre lit pour dormir…et franchement ça m’emmerde.


Je ne sais plus quoi faire de lui, je ne le comprends plus et le pire dans tout ça, c’est qu’il commence à gagner du terrain le malin. Il va m’avoir à l’usure et je me surprends parfois à écouter ce qu’il dit et même à être d’accord.


Je ne sais pas quoi faire, après toutes ces années où on a cohabité (disons que comme j’ai besoin de respirer et lui d’un lieu pour s’épanouir, nous avons opté pour un échange de services) ce ne serait pas correcte de ma part de le changer. C’est peut être une phase qui lui passera. Je me suis un peu renseigné et il parait que ça arrive aux cœurs fragiles, mais que c’est remédiable avec le temps.


Donc voilà, j’attends…je fais un peu le sourd et parfois j’essai quand même de lui remonter le moral et de le coacher. Mais ce n’est pas si facile, puisque moi-même, j’ai besoin de lui pour qu’il m'aide un peu et m’encourage…Mais vu son état, je suis dans l’obligation de m’occuper de lui d’abord. Moi je pense que je tiendrai le coup. Et disons, que s’il arrive à s’en sortir, il pourra à son tour s’occuper de moi...ça sert à ça les amis non ?


lundi 8 février 2010

Le doute




Un oui, un non, un oui, un non,
Voilà dans ma tête ce tourbillon,
Sans cesse, les pensées s'affolent et ci et là,
Je ne peux jamais répondre à un pourquoi...
"Je ne sais pas", voilà mes mots,
Ne pas savoir, hésiter, voici mes maux...
Mon esprit est doute, flou et plein,
Trop plein de pensées de tout, de rien...
Difficiles sont les décisions,
Atroces sont les questions...
Oui, les questions tourbillonnent dans ma tête
Comme le vent en pleine tempête...
Je n'ai point de réponses à tout cela,
Peut-être qu'un jour, elles seront là..

mardi 15 décembre 2009

... fait pour toi

Après tout ce que j'ai fait pour toi......quelle horrible phrase...




Si un jour vous êtes amené à prononcer "après tout ce que j’ai fait pour toi" (je ne vous le souhaite pas), alors probablement c’est "après tout ce que j’ai fait pour moi" que vous devriez dire pour honorer votre pensée profonde.




Ce qu’on fait pour les autres en attendant quelque chose, c’est en réalité pour soi qu’on les fait. Et si la reconnaissance de ce qui a été fait n’arrive pas, alors peut jaillir dans la conversation cette triste pensée.